Hommage à Jean Ferrat

Le festival "Chansons de Parole" de Barjac, vient de perdre son parrain.C'est dans un communiqué empreint d'émotion, que Jofroi, le directeur artistique du festival rappelle à quel point, Jean Ferrat était "plus qu'un ami, c'était un modèle, une ligne de conduite. Pour les uns, c’était un frère, un grand frère, pour les autres, un père, un grand-père même". Le festival rappelle que le chanteur considérait le monde comme sa famille, et que sa vision de la vie ne pouvait se faire sans le mot Fraternité.
Merci Jean Ferrat !
Pour le festival "Chansons de Parole", plus qu'un ami, c'était un modèle, une ligne de conduite... et notre parrain, toujours présent à chaque ouverture, complice, souriant, partageant joie et simplicité avec le public et les artistes. Toute l'équipe tient à lui rendre le plus bel hommage ! Chapeau bas ! Merci Jean Ferrat !
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Jean Ferrat, pseudonyme de Jean Tenenbaum, est parolier, musicien, compositeur et chanteur français né le 26 décembre 1930 à Vaucresson (Hauts-de-Seine) et mort le 13 mars 2010 à Aubenas1 en Ardèche.
À la fois chanteur engagé et chanteur de charme, auteur de chansons à textes, il est aussi compositeur, et met notamment en musique de nombreux poèmes de Louis Aragon. Jean Ferrat est proche des idées communistes, mais critique envers le Parti communiste français et l'URSS. Bien que peu présent dans les médias et malgré un retrait de la scène à quarante-deux ans, il connaît un grand succès aussi bien critique que commercial, fondé autant sur sa voix grave et chaude que ses prises de position politiques et sociales.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Ferrat
Chaude et grave, lyrique et "noueuse comme un pied de vigne", la voix de Jean Ferrat est entrée dans les foyers français en 1964 avec La Montagne. L'époque était au règne des copains sur les transistors, au twist et au yé-yé, au consumérisme de l'american way of life. A contre-courant, Jean Ferrat, mort samedi 13 mars 2010 en début d'après-midi, à l'âge de 79 ans, à l'hôpital d'Aubenas (Ardèche), toucha le pays avec sa chronique douce-amère de l'exode rural, dénonçant les mirages du progrès, du "Formica et du ciné". Avec son hautbois mélancolique, La Montagne est restée….
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http://www.lemonde.fr/carnet/article/2010/03/15/jean-ferrat_1319296_3382.html